La Petite Histoire du Cinéma

La Petite Histoire du Cinéma

Histoires et secrets de films et de séries et des personnages de fiction

CinéMaRadio

🎤 La Petite Histoire du Cinéma est un podcast poduit par La Fabrik Audio. Ces personnages de fiction ont-ils existé ? Quel est le parcours de cette actrice ? Qu'est ce qui a inspiré ce réalisateur de films ou de séries ? On vous raconte La Petite Histoire du Cinéma 2 fois par mois : le 08 et le 22 de chaque mois. 💡Pour écouter toutes nos petites histoires sur toutes les thématiques, rdv sur la chaîne générale de La Petite Histoire. 🔈Auteurs : Florent Mounier, Sébastien Girard. ✨Pour soutenir le podcast mettez 5 étoiles à ce podcast sur Apple Podcasts ou Spotify. ✉️Vous souhaitez devenir sponsor de ce podcast ? contact@lafabrikaudio.com

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Critique du Film ALICE ET LE MAIRE

#podcast | Avis sur le film ALICE ET LE MAIRE.

Bobo Léon a vu ce film pour #Cinémaradio et l'a adoré! Pourquoi? Il vous dit tout dans ce podcast cinéma!

SYNOPSIS ET DÉTAILS : Le maire de Lyon, Paul Théraneau, va mal. Il n’a plus une seule idée. Après trente ans de vie politique, il se sent complètement vide. Pour remédier à ce problème, on décide de lui adjoindre une jeune et brillante philosophe, Alice Heimann. Un dialogue se noue, qui rapproche Alice et le maire et ébranle leurs certitudes.

Distributeur Bac Films  

Date de sortie 2 octobre 2019 (1h 43min)

De Nicolas Pariser

Avec Fabrice Luchini, Anaïs Demoustier, Nora Hamzawi

Genre Comédie dramatique

Nationalité Français

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Qui a inspiré James Bond ?

Salut tout le monde Merci d'écouter ce podcast de la petite histoire produit par la fabirk audio! N'hésitez pas à mettre des petites étoiles à ce podcast sur itunes ! À le commenter! Et à écouter tous les autres podcasts de la fabrik audio, avec notamment les aventuriers pour des récits d'expatriés autour du monde, le bouche à oreille avec les critiques gastronomiques de bonnes tables en provence et cinémaradio pour le meilleur du cinéma … mais en audio! 

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Son nom est Bond James Bond, mais James a t il vraiment existé? 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Critiques de Films Docu | Akaboum + Dans l’œil du chien

C'est la semaine du film documentaire sur Cinémaradio. Bobo Léon a vu deux films pour ce podcast : Akaboom et Dans l'oeil du chien.

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Akaboom : 

SYNOPSIS

En banlieue parisienne, un groupe d’adolescents erre à la recherche d’une « rave party ». L’architecture périphérique de la ville défile comme le décor d’une aventure rétro futuriste qui aurait mal tournée ; l’utopie gouvernementale des grands ensembles, le rêve plastifié du parc Eurodisney, les zones de jeu et de sport utilisées maintenant comme espaces pour la défonce. La banlieue parisienne se révèle alors comme étant la scène d’un projet politique échoué, qui n’a fait qu’intensifier les différences entre les quartiers défavorisés et le centre de la ville. Pourtant, la jeunesse filmée par Manon Vila n’est pas une jeunesse vaincue. Elle est forte, fière, intelligente et pleine d’espoir. En filmant cette déambulation en quête de jouissance, la réalisatrice explore les frontières physiques, politiques et urbaines d'un quartier. Avec une liberté poétique très étonnante, Akaboum remet en question le discours officiel sur l’héritage colonial et l’exclusion sociale. Un film qui bouscule les stéréotypes établis autour de la notion de périphérie. 


Section:  Compétition Internationale Moyens et Courts Métrages

Durée: 30'

Pays: France

Année: 2019

Langue(s): Français

PRODUCTION Nora Rotman  (Les Ecuries Productions)

CONTACT DE VENTE

nora@lesecuriesproductions.com_


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Dans l'œil du chien

The Dog's Eye

SYNOPSIS

La grand-mère, qu’un premier plan sans fard montre assise sur son canapé dans un ronron de frigo, voûtée sous le regard têtu du film, chassant de rares mouches pour soulager le malaise que lui coûte la caméra, la grand-mère, donc, est malade. C’est une maladie qui lui mange le visage : comme si, petit à petit, elle s’effaçait. Et si la petitefille filme, c’est évidemment pour embaumer dans l’image la grandmère qui va mourir. Mais d’une façon qui donne l’impression que le film voudrait lutter contre la maladie à armes égales, en cannibale. C’est un portrait littéralement dévorant, qui va chercher au fond des draps et des pèlerines l’odeur chaude de la vie persistante, toucher par la main de la petite fille celle de la grand-mère à la peau quasi-translucide, regarder à s’user l’oeil le visage dont la blessure, à force de regard, s’oublie. Cette blessure est pour la cinéaste une question entêtante, et la mort à travers elle une énigme charnelle, dans laquelle il faut plonger les deux mains. C’est ce que dit, avec autant de brutalité que de noblesse, une scène admirable où Eustache revient deux fois (par la grand-mère, par le cochon), Eustache auquel on pense ici presque autant qu’à Pialat. Car tous deux savaient, comme le sait Laure Portier face à sa grand-mère, qu’il faut être cru pour aimer, et qu’on ne réussit un geste d’amour comme Dans l’oeil du chien qu’à la condition de ne pas retenir la cruauté de son regard. Prince, le chien, n’a pas cette chance: dans son oeil fidèle, la mort est la plus aveuglante des énigmes.


Film De Laure Portier

  • 2019
    • France
    • Belgique
  • 38 min
  • Couleur
  • Gaëlle Jones (Perspective Films), Julien Sigalas (Stempel)