Avis sur le film Le Daim, un film réalisé par Quentin Dupieux avec Jean Dujardin, Adèle Haenel.
🎤 La Petite Histoire du Cinéma est un podcast poduit par La Fabrik Audio. Ces personnages de fiction ont-ils existé ? Quel est le parcours de cette actrice ? Qu'est ce qui a inspiré ce réalisateur de films ou de séries ? On vous raconte La Petite Histoire du Cinéma 2 fois par mois : le 08 et le 22 de chaque mois. 💡Pour écouter toutes nos petites histoires sur toutes les thématiques, rdv sur la chaîne générale de La Petite Histoire. 🔈Auteurs : Florent Mounier, Sébastien Girard. ✨Pour soutenir le podcast mettez 5 étoiles à ce podcast sur Apple Podcasts ou Spotify. ✉️Vous souhaitez devenir sponsor de ce podcast ? contact@lafabrikaudio.com
Avis sur le film Le Daim, un film réalisé par Quentin Dupieux avec Jean Dujardin, Adèle Haenel.
Bobo Léon a vu pour Cinémaradio le nouveau film de Bertrand Bonello, Zombi Child, avec Louise Labeque, Wislanda Louimat.
Bobo aime le réalisateur Bonello qui l'attire et le rejette en même temps. Bonello est toujours à l'heure, avec une vision artistique et sociétale. Entre religion et vaudou, ici on parle réappropriation culturelle. Quelques clins d'oeil au film FOG de Carpenter. Bobo t'en dit plus dans ce podcast cinéma.
Synopsis : Zombi Child raconte l'histoire de Fanny qui est dans une école particulière... Il n'y a que des membres dont les grands parents ont reçu la légion d'honneur. Et en parallèle on est à Haïti avec des personnes qui ont été "zombifiées".
Souviens-toi, il y a quelques mois nous t'offrions grâce aux éditions Lettmotif le livre Tropique du Splendid, essai sur la France des Bronzés. Nous avions même interiewé son auteur Warren Lambert à écouter ici. Aujourd'hui, Bobo Léon revient sur cet ouvrage et donne son point de vue.
Bobo Léon a aimé ce livre qu'il trouve brillant mais n'est pas tout à fait d'accord avec la thèse défendue par son auteur, Warren Lambert. Il émet ses réserves dans ce podcast. Il attend vos commentaires pour engager le débat sur le Facebook de Cinémaradio, le twitter, et le site.
A l'occasion de la sortie en salles du film Conséquences le 19 juin 2019, Sylvain Ménard a rencontré pour Cinémaradio le réalisateur du film, Darko Štante. Ce dernier a filmé une histoire aux frontières du banal (tout du moins comme on serait en droit de l’imaginer) et qui n’appartient à aucun pays tant elle s’avère universelle. Dans ce film le réalisateur dresse un portrait humaniste et sincère parcouru d’instants qui nous font réfléchir, tandis que d’autres nous semblent particulièrement inconséquents, ce qui nous ramène au titre du film. Voici la rencontre entre Sylvain Ménard de Cinémaradio et le réasliateur du film Conséquences, Darko Štante, en intégralité dans ce podcast.
Nous remercions chaleureusement Darko Stante et toute l’équipe, ainsi que le traducteur Adrien Boursot (de Epicentre Films). Comme à l’accoutumée une interview dans une langue étrangère avec des éléments qui se croisent, où l’on doit jongler entre la question, sa traduction et sa réponse (qui sera elle même traduite) nécessite du temps et de la fluidité.
Nous vous demandons de bien vouloir nous excuser pour la qualité sonore puisque ce podcast a été enregistré à son hôtel. Mais quelle belle expérience, et quand les interlocuteurs sont professionnels et agréables, ça ne peut que bien se passer.
Si vous souhaitez (re)lire la critique complète du film Conséquences elle est ici.
Le synopsis:
A 17 ans, Andrej est placé dans un centre de détention pour mineurs. Il y intègre un groupe de garçons délinquants avec lesquels il va se perdre dans la drogue et la violence. Mais bientôt les désirs d'Andrej le rattrapent, notamment ceux en relation avec ce qu’il ressent pour le chef du groupe Zelko, qui le fascine ! Poussé à commettre des délits de plus en plus graves, partagé entre cette fascination et ce qu’il ressent réellement, les conséquences risquent d’être irréversibles…
Sylvain Ménard
Aujourd'hui un Ciné Parler depuis Avignon après une séance à l'Utopia d'Avignon qui rediffusait l'excellent film 1900 de Bernardo Bertolucci. (réalisé en 1976).
On suit le parcours de deux personnages en Italie depuis leur naissance en 1900 jusqu'à la fin du régime de Mussolini. Le film n'est aboslument pas manichéen car on a de la sensibilité pour les deux personnages qui sont pourtant des deux côtés. Dans l'une des scn-ne on voit un Depardieu nu, jeune, magnifique. La place des femmes est très importante dans ce film qui dure 5h18 et les chansons ont une importance évidente dans l'histoire.
A (re)voir dans les bons cinémas qui proposent ce film.
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