La Petite Histoire du Cinéma

PODCAST CINEMARADIO | SAGA MARVEL | Critique du film THOR LE MONDE DES TÉNÈBRES, histoire du film et anecdotes.

Dans ce balado cinéma de la SAGA MARVEL, Eric Desmet vous propose une chronique cinéma sur le film Thor 2, le monde des ténèbres qui est le deuxième des 6 films constituant la seconde phase de la SAGA MARVEL.

Retrouvez cette chronique en vidéo en rejoignant sur YouTube la page CinéMaRadio : https://youtu.be/XX9cwcqQm8s.

Thor : Le Monde des ténèbres est la suite directe de Avengers (2012) de Joss Whedon.

Qui est Thor? C'est le Dieu du tonnerre dans la mythologie nordique. C'est en 1962 qu'il est devenu l'un des célèbres super-héros des comic-books Marvel. C'est Stan Lee et Jack Kirby qui ont imaginé ce personnage Marvel. Depuis 1962, Thor ne cesse d'apparaître dans des séries animées et des jeux vidéos. Thor apparaît pour la première fois sur grand écran en 2011 avec le réalisateur Kenneth Branagh.

L'histoire de Thor se passe sur trois mondes différents :

• Asgard, le royaume des Dieux ;


• Jotuheim, le désert de glace ;


• la Terre (plus exactement, le Nouveau-Mexique).

Le décor de la Médina du royaume d'Asgard est le plus grand créé pour un film Marvel avec 4 mois de travail pour construire ce décor.

Pour Thor 2, c'est d'abord la réalisatrice de Monster (2006), Patty Jenkins, qui était pressentie, recommandée par Natalie Portman (le personnage de Jane Porter). Mais Patty Jenkins était finalement en désaccord avec Marvel Studios et avec les scénaristes du film. Elle a donc été lourdée du projet ! Natalie Portman a voulu soutenir cette réalisatrice et a donc souhaité quitté le navire, mais contrat oblige, elle n'a finalement pas pu refuser le rôle.

C'est donc Alan Taylor qui a finalement été nommé réalisateur de THOR 2. Ce dernier était déjà connu pour avoir réalisé certaines épisodes des séries : Oz, Les Soprano, À la Maison blanche, Sex & the City, Six Feet Under, Deadwood ou encore Game of Thrones.

Mais au milieu du tournage, il y eut des rumeurs annonçant le départ du réalisateur Alan Taylor. Finalement, il n'en fut rien.

Thor : Le Monde des ténèbres n'est que le début de la Phase 2 pour Marvel. La Saga Marvel de CinéMaRadio présentée par Eric Desmet s'intéressera prochainement à Captain America : Le Soldat de l'hiver, puis au film Les Gardiens de la Galaxie, Avengers : Age of Ultron, etc.

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Pour écouter la Saga Marvel sur les plateformes de podcasts rdv sur :

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PODCAST CINEMA | SAGA STAR WARS | épisode II : L'Attaque des clones (Star Wars: Episode II – Attack of the Clones).

CinéMaRadio aime la Saga Star Wars et vous propose de réveiller la Force qui est en Vous dans cette chronique cinéma consacrée à l'épisode 2, L'attaque des clones : COULISSES ET ANECDOTES.

CinéMaRadio et Eric Desmet s'intéressent à la Saga Star Wars en balado audio. Pour revivre les meilleurs moments de La Guerre des Etoiles c'est ici. George Lucas tourne ce film avec une caméra numérique, contrairement au film précédant en 8 mm. L'attaque des clones ne content pas un seul plan qui n'est pas retravaillé numériquement.

Retrouvez toutes les chroniques de la Saga Star Wars en podcast audio mais aussi en chroniques vidéo sur le site de CinéMaRadio, Itunes, soundcloud, Mixcloud, Castbox, Deezer, et toutes les autres plateformes de podcasts.

BALADO CINEMA | MICRO FICTION | LA MACHINE A EXPLORER LE TEMPS.

La SF est à l'honneur sur CinéMaRadio avec Christophe et l'émission de Science Fiction au cinéma Micro Fiction.

Le film La Machine à explorer le temps / The Time Machine est inspiré du roman de H.G. Wells mais a été un peu boudé au cinéma. Mais nous, on adore ce classique de la Science-Fiction! Un film à voir absolument !

Retrouvez aussi cette vidéo sur la chaîne YouTube de CinéMaRadio : https://youtu.be/EiAYlKm_mtk

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PODCAST CINE | CRITIQUE DU FILM FRANKENSTEIN JUNIOR | CinéRires.

Un Balado humour au cinéma signé Eric Desmet avec cette comédie de Mel Brooks de 1974.

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Ecoutez aussi les soundtracks des films d'humour sur CinéMaRadio.

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PODCAST CINEMA | CRITIQUE DU FILM BASKET DIARIES | Le Cinéma Avec Un Grand A sur CinéMaRadio.

Matthieu Blomme se demande dans ce podcast ciné si une bonne pefomance d'acteur(s) suffit sauver un film bof? La réponse dans ce balado cinéma consacré à la performance du beau (et jeune à l'époque) Léonardo Di Caprio.

Aujourd'hui on va tenter de résoudre une problématique à travers la question, une bonne performance d’acteur suffit-elle à sauver un film plutôt moyen ? Afin d’illustrer notre propos, nous allons nous servir de l’exemple de Basketball Diaries, réalisé par Scott Kalvert, en 1995, avec Leonardo DiCaprio et Mark Wahlberg. Alors, déjà, de quoi ça parle, en deux mots ? Nous suivons un jeune new-yorkais, Jim Carroll, qui aime bien écrire de la poésie et faire du basket avec ses coupains. Sauf qu’un jour, il goutte à la coke lors d’une petite soirée alcool-claque sur la fesse. Après ça, c’est la dégringolade. Le mec part en vrille, coke, héro, eau de javel, huile de colza, le mec il se shoote avec tout ce qu’il trouve autour de lui. Sauf qu’étant devenu un clochard, il n’a plus un rond. Du coup, il sombre dans la prostitution pour payer ses fixes. Jusqu’à ce qu’il se fasse prendre par la maréchaussée, qu’il ait un retour de conscience, et qu’il devienne, du jour au lendemain, un artiste acclamé. Tout ça, c’est tiré d’un bouquin autobio écrit par le véritable Jim Carroll, un poète américain absolument pas connu par chez nous, qui, vraisemblablement, a vécu tout ce que l’on voit dans le film. Donc, postulat de départ : Basketball Diaries, biopic sur fond d’addiction à la drogue. Ok. Interprété par DiCaprio, à l’époque où il émerge à Hollywood (on est avant Roméo et Juliette et Titanic). Ok, très bien. Jim Carroll. Je ne connais pas plus que ça, mais comme j’aime bien la poésie, pourquoi pas, le parcours du gars peut donner un film sympa. Réalisé par Scott Kalvert. Qui ça ? Scott Kalvert. Qui ? Kalvert ? Non, connais pas. Et pour cause, le mec a pondu des clips entre la fin des années 80 et début 90. Un film intitulé Deuces Wild (Les Voyous de Brooklyn) en 2002. Mouais, non. Et il s’est suicidé en 2014. Ah…

Basketball Diaries est un film pété de problèmes. Et le premier d’entre eux, il vient de son réalisateur. Alors, je ne vais pas vous parler du background et du contexte de la période, on s’en fout un peu ici. Le film est une prod’ indépendante, sans grande envergure, ni grande ambition, si ce n’est celle de circuler à travers les festivals, ce qu’il ne fera pratiquement pas. Le souci, c’est que Kalvert, il a beau être motivé par son sujet, il fait, ici, ce qu’il sait faire de mieux, visiblement : c’est-à-dire, un clip-vidéo. Sauf que l’usage des grands angles qui déforment l’image, soit ça n’a aucun sens, soit le sens que c’est censé avoir (du type déformation des repères etc…), ça sonne creux. Car l’effet reste superficiel (et ultra connoté). Et, manque de pot pour lui, c’est devenu un truc daté. En fait, on pourrait comparer ce film à Trainspotting, réalisé avec un phrasé clipesque et sorti à l’exacte même époque. Seulement, pourquoi chez Boyle ça marche et pas chez Kalvert ? Boyle utilise le sujet de l’addiction pour illustrer un contexte social se définissant par toute une série de codes, comportementaux et culturels, s’incarnant, dans le film, à travers la fuite en avant du personnage de McGregor, qui répond, à tout ça, par le refus, en consommant de l’héro. Sauf, qu’à la fin, après la mort de son meilleur ami, il comprend qu’il est, de toute façon, par nature, contraint de supporter une addiction. Aussi, il accepte celle qui lui permettra de vivre comme tout le monde, même s’il est conscient que celle-ci s’établie d’une manière imparfaite, plutôt qu’à la marge, sous le coup d’une addict...