La Petite Histoire du Cinéma

PODCAST SAGA STAR WARS | L'ATTAQUE DES CLONES - épisode 2.

Dans cette première partie du podcast consacré au deuxième épisode de la Saga Star Wars, Eric Desmet s'intéresse au film ATTACK OF THE CLONES. La deuxième partie axera sur les anecdotes en lien avec ce film.

Retrouvez toutes les infos et chroniques cinéma sur Star Wars en écoutant la radio officielle des jedis CinéMaRadio.

Ecoutez aussi les soundtracks de Star Wars sur CinéMaRadio.

PODCAST CINEMA | Critique du film "Je suis une Légende" | Micro Fiction.

Will Smith est de retour dans ce film I Am Legend. Christophe de MicroFiction a retrouvé dans son grenier le dvd du film et vous propose le balado cinéma Je Suis Une Légende.

Dans ce film, Will Smith est le dernier homme à hanter New York après qu'un virus ait tué tout le monde. Tout le monde?

Retrouvez cette chronique ciné sur la radio du cinéma, CinéMaRadio. Vous pouvez même écouter la bande originale du film Je suis une légénde sur la webradio du cinéma CinéMaRadio.

Pour écouter les podcasts de MicroFiction sur les plate-formes podcasts c'est simple :

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PODCAST CINE | CHARLIE CHAPLIN ET LE MUET.

Retrouvez dans ce balado ciné l'histoire de Charles Spencer Chaplin, dit Charlie Chaplin. Retrouvez aussi toutes les comédies internationales au cinéma dans l'émission CinéRires présentée par Eric Desmet.

L'émission existe aussi en vidéo sur la chaîne YouTube de CinéMaRadio.

Tout sur l'acteur, réalisateur, scénariste, producteur et compositeur britannique qui devint une idole du cinéma muet grâce à son personnage de Charlot.

Né à Londres, le 16 Avril 1889, de son vrai nom Charles Spencer Chaplin, il va révolutionner à la fois le cinéma et la comédie et être l’unes des premières stars adulées du public, dans le 7ème art.

Recruté en 1914 par l’inventeur des courts métrages muets, Mack Senett, pour ses prouesses acrobatiques qu’il tenait de sa formation dans les troupes théâtrales Anglaises, Chaplin va vite évoluer et créer son personnage de Charlot, l’éternel vagabond avec le Chapeau et la canne.

Il devient très vite populaire, ce qui fait qu’un an plus tard, il est engagé par la société de production Essaney pour jouer dans des bandes qu’il réalise et écrit lui-même.

C’est là qu’il va affiner son personnage et créer son style cinématographique, certes moins riche et percutant que celui de Buster Keaton, mais plus orienté sur ses performances de mimes et d’acrobate, et surtout, sur l’émotion.

Pendant une année, il va faire 15 films dont Charlot Boxeur ou le Vagabond.

Puis il signe avec la Mutual en 1916, pour plus d’argent et surtout, encore plus d’indépendance artistique.

C’est sa meilleure époque, car non seulement il met en place des gags de plus en plus élaborés, mais il privilégie de plus en plus l’émotion et le contexte social, comme dans l’émigrant ou Charlot arrive en Amérique en bateau et découvre que la terre promise n’est l’est pas tant que ça. Une œuvre très autobiographique donc.

Puis de 1916 à 1923, il réalise 9 moyens métrages pour la First National, ou drame et comédie cohabitent en parfaite harmonie, comme dans une vie de chien, Charlot Soldat, le pèlerin et surtout Le Kid.

Le succès de ces chef d’œuvres lui permettent de créer sa propre société de production avec d’autres stars du muet, la United Artists, et ainsi de passer aux longs métrages.

On peut citer la ruée vers l’or en 1925, et sa célèbre danse des petits pains.

Mais aussi le cirque en 1928.

Quand le cinéma devient parlant à la fin des années 20, Chaplin se met en pause mais réalise encore deux films, les lumières de la ville en 1931, et les temps modernes en 1936.

Par provocation contre le changement du média, ces deux films sont également muets, même s’ils comportent des effets sonores.

Contre toute attente, ce sont 2 gros succès, et deux grands chef d’œuvres également, surtout le deuxième, critique inspirée et hilarante de l’ère industrielle.

Chaplin finira néanmoins par passer au parlant en 1940, avec le Dictateur, film génial dont je parlerais dans une autre chronique.

Contrairement aux autres stars du muet, Chaplin est le seul à être resté aussi populaire après le parlant, voire même plus.

S’il a pris ses distances avec le public américain, c’est surtout pour ses prises de position politiques, qui l’on notamment contraints de partir des Etats-Unis, et de s’exiler en Angleterre.

Fait encore plus étonnant, si les autres comiques du muet sont maintenant tous oubliés du grand public, seul Chaplin est encore connu aujourd’hui, même par les jeunes, grâce à des dessins animés ou des clips de Dance.

Voila, je vous donne rendez-vous très bientôt pour une nouvelle chronique et surtout, n’oubliez jamais de...

PODCAST CINE | Critique du film culte La Vie Aquatique.

Le Cinéma Avec Un Grand A s'intéresse aujourd'hui à l'excellent Film de Wes Anderson « The Life Aquatic with Steve Zissou ». Voici la critique du film La vie aquatique proposée par Yann Ritter dans Le Cinéma Avec Un Grand A sur CinéMaRadio.

La vie Aquatique de Wes Anderson s’inspire de la vie de l’océanographe Français Jacques-Yves Cousteau en la parodiant très librement. Steve Zissou, un océanographe excentrique est le chef de l’équipe de recherche qui porte son nom la “Team Zissou”. Après la présentation devant un public circonspect de son dernier documentaire, il décide de conduire son ultime expédition dans le but de retrouver “le requin-jaguar”, responsable de la mort de l'un des membres de son équipage, Esteban. Mais s’il pouvait par la même occasion graver son nom dans l’Histoire il ne serait pas contre. Son équipe présente des membres pas mal toc-toc dans leurs têtes mais tout de même motivés et bien attentionnés. Parmi eux figurent, pour la première fois, Ned Pimpleton, qui est peut être le fils de Zissou et une charmante journaliste d’un magazine Océanographique nommée Jane Winslet-Richardson. Ainsi que son épouse, qui est considérée comme le soi-disant “cerveau de la Team ». C’est comme ça que les apparences et la réalité s’entrechoquent et les illusions tomberont petit à petit pour eux. Après avoir eu affaire à des attaques de pirates pas très commodes ainsi qu’au fameux Requin-Jaguar (qui se transforme vite en quête d’un Moby Dick pour Zissou plus qu’autre chose) Steve comprendra que tout ce qu’il a planifié tombera malheureusement à l’eau (sans mauvais jeu de mots). S’en suivra une aventure remplie de rebondissements, de romances et de comiques improbables qui sont la marque de fabrique incontestable de Wes Anderson.

Le film regroupe tous les fidèles d’Anderson. On retrouve donc Owen Wilso en malchanceux fils “potentiel” de Zissou qui essaye tant bien que mal de se faire une place dans la vie déjà bien remplie et codifiée de son père ; Willem Dafoe, quant à lui, joue un personnage naïf du nom de Klaus qui était jusqu’ici celui que Zissou considérait comme son fils. Mais lors de l’arrivée de Ned, une intense rivalité se crée entre eux ; et bien sûr le meilleur pour la fin Bill Murray ! Il faut bien le dire Murray avec son air déconnecté et perdu, pas loin de sa prestation dans le film « Lost in Translation » de Sofia Coppola, capte toute l’attention du spectateur sur lui. Passant de sa relation tumultueuse avec sa femme à une présentation exhaustive et éducative de son bateau, Zissou se révèle multi-facette, imprévisible et sûrement moins perdu qu'il n’y parait.

Avec « The Aquatic Life », Anderson quitte l’univers quasi ubuesque de La Famille Tenenbaum, pour s'orienter vers un film dominé par ses couleurs et son visuel enfantin. Mais qu’on ne s’y trompe pas, le ton lui n’a pas changé. Anderson crée des personnages forts et complexes qui vivent des situations … Fortes et complexes. Le jeu de Bill Murray est à l’image de ce principe : son aspect simple et déconnecté de la réalité cache un personnage atypique et certainement triste de ce qu'il devient. Ne communiquant plus que très peu avec sa femme, il n’a plus que la mer et ses documentaires pour vivre. Ce qui rend les méthodes de Zissou, un peu extrémes et assez surréalistes il faut bien le dire ! La vie Aquatique c’est du Grand Anderson, du bon cinéma, de l’originalité et un foisonnement d’idées plus colorées et barrées les unes que les autres. Ne vous attendez pas à une biographie du commandant Cousteau, La Vie Aquatique c’est un hommage à l’image qu’ont pouvait avoir de l’homme au chapeau rouge. Une fable (comme tous les films andersonniens) aquatique, poétique et surprenante. A voir absolument quoi !

Yann Ritter

Retrouvez la Bande Originale...

PODCAST CINEMA | Critique du film Au service secret de sa majesté sorti en 1969 | SAGA JAMES BOND.

On revient aux fondamentaux de la série avec beaucoup moins de gadgets et un James Bond australien. Voici le balado cinéma sur ce film "On Her Majesty's Secret Service".

L'agent secret est appelé à la rescousse pour mettre un terme aux malversations de Blofeld.

Réalisateur : Peter Hunt

Titre musical associé : We Have All the Time in the World

Pour écouter la Bande originale de John Barry, rdv sur CinéMaRadio, la radio officielle des plus grands films.

Retrouvez aussi cette chronique en vidéo sur la chaine YouTube de CinéMaRadio.