La Petite Histoire du Cinéma

La Petite Histoire du Cinéma

Histoires et secrets de films et de séries et des personnages de fiction

CinéMaRadio

🎤 La Petite Histoire du Cinéma est un podcast poduit par La Fabrik Audio. Ces personnages de fiction ont-ils existé ? Quel est le parcours de cette actrice ? Qu'est ce qui a inspiré ce réalisateur de films ou de séries ? On vous raconte La Petite Histoire du Cinéma 2 fois par mois : le 08 et le 22 de chaque mois. 💡Pour écouter toutes nos petites histoires sur toutes les thématiques, rdv sur la chaîne générale de La Petite Histoire. 🔈Auteurs : Florent Mounier, Sébastien Girard. ✨Pour soutenir le podcast mettez 5 étoiles à ce podcast sur Apple Podcasts ou Spotify. ✉️Vous souhaitez devenir sponsor de ce podcast ? contact@lafabrikaudio.com

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EMISSION SPÉCIALE JEAN-PIERRE JEUNET !! PODCAST CINEMA [Petits secrets entre cinéphiles] / CinéMaRadio

CinéMaRadio aime « Je me souviens, 500 anecdotes de tournage » par le réalisateur Jean-Pierre Jeunet.




250 pages d’anecdotes racontées par Jean-Pierre Jeunet !


De ses souvenirs du film Delicatessen à La Cité des enfants perdus, de Alien resurrection à Amélie Poulain.

Et pour marquer le coup, CinéMaRadio a interviewé pour vous le réalisateur et lui a demandé en exclusivité quelques souvenirs ! Rendez-vous à partir de mercredi 30 mai sur le player de CinéMaRadio et en podcast dans l’émission "petits secrets entre cinéphiles".


Et pour vraiment vous faire plaisir CinéMaRadio et Les éditions LettMotif vous offre ce premier recueil d’anecdotes de tournage de Jean-Pierre Jeunet! Rdv sur nos réseaux sociaux Facebook et twitter pour en savoir plus !

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PODCAST CINEMA : ça est du belge ! #15 / Film Belge "Girl" au Festival de Cannes, François Damiens et un festival de courts métrages belg...

PODCAST CINEMA : ça est du belge ! #15 / Film Belge "Girl" au Festival de Cannes, François Damiens et un festival de courts métrages belge.


La Belgique fait son cinéma avec Michel Decioux-Derycke.


La 71ème édition du Festival de Cannes aura souri à un film belge: Girl. Ce premier long métrage de Lukas Dhondt a fait l’unanimité auprès de la presse internationale et également auprès de plusieurs jurys.

Girl remporte la Caméra d’or attribué à un premier film quel que soit la compétition, 27 ans après Toto le héros de Jaco Van Dormael. Dans sa besace, Girl a aussi la Queer Palm récompensant un film pour son traitement des thématiques altersexuelles, le Prix FIPRESCI, prix de la Critique internationale ainsi que le Prix d’interprétation pour le jeune Victor Polster, l’acteur principal. Le film sortira dans les salles belges et françaises l’automne prochain.

François Damiens est connu pour son personnage de François l’Embrouille à la télévision puis pour nombre de rôles au cinéma. Il vient de réaliser son premier long métrage : Mon Ket, ket étant un mot bruxellois pour désigner un jeune, un gosse. Ecoutons la bande-annonce...

François l’Embrouille, je le voyais de temps en temps à la télé n’étant pas fan de RTL-TVI, la chaîne privée belge où passait ce personnage. J’avoue que je riais, que je passais du bon temps. Après, François Damiens m’a bien plu comme acteur, je retiens Tango libre de Frédéric Fonteyne, Suzanne de Katell Quillévéré, Je fais le mort de Jean-Paul Salomé, Les Cowboys de Thomas Bidegain, Des nouvelles de la planète Mars de Dominik Moll ou Otez-moi d’un doute de Carine Tardieu. Je m’attendais donc à un film correspondant à la sensibilité qu’affichait François Damiens dans ses rôles. Eh bien non, il a repris son personnage de François l’Embrouille en le transformant en Danny Versavel mais c’est le même moule et en faisant tout un film en caméra cachée.

François Damiens, qui a coécrit Mon ket avec Benoit Mariage, fait le choix de mélanger fiction comique et caméra cachée, c’est loupé, ce n’est pas drôle. Rien ne prend en dépit des efforts du François Damiens pour arracher un sourire. Le principe de la caméra cachée ne tient pas la route sur le temps que dure le film : 89 minutes et montre les limites d’un tel procédé de manière encore plus significative que «Connasse, princesse des cœurs». On est dans une comédie à sketches, cela manque totalement de liant et n’a ni queue ni tête, le pire étant la partie finale. Par moments, j’ai même été gêné notamment dans la scène du footballeur. Pour finir, Mon Ket n’est pas du cinéma, c’est de la télévision.

Le Court en dit long, c’est un Festival de courts métrages francophones produits et coproduits en Wallonie et à Bruxelles, se déroulant entre le 4 et 9 juin au Centre Wallonie Bruxelles à Paris. Trente-deux films seront en compétition, répartis en six programmes thématiques : des corps, films d’écoles et d’ateliers, adolescents, questions de société, de l’amour, questions de genres.  Cette 26ème édition est aussi placée sous le signe de deux réalisateurs de cinéma d’animation ayant marqué l’histoire du festival avec leurs courts métrages: Vincent Patar et Stéphane Aubier, les auteurs de "Pic Pic le cochon magique" et de "André le mauvais cheval", mais aussi de la série télévisée et du long métrage Panique au village ! Sans oublier leur co-réalisation avec Benjamin Renner du long métrage "Ernest et Célestine", qui leur valut notamment le César du film d’animation 2013 et le Magritte du meilleur film belge 2014.

Plus d’infos sur http://www.cwb.fr/programme/26e-festival-le-court-en-dit-long_1

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PODCAST CINEMA | Ca est du Belge ! #14 - CinéMaRadio

Ca est du Belge sur CinéMaRadio

By Michel Decoux-Derycke


Le 27 avril dernier, j’étais Président du Jury de la Critique au Festival International du Film Policier de Liège. Avec mes partenaires jurés, Adrien Coorbel et Julien Polet, nous avons récompensé le court métrage belge « Les corps purs » de Bérangère McNeese et Guillaume De Ginestel. L’histoire, c’est celle de Axelle, escort girl à Bruxelles, qui s’assure les services d’un chauffeur mutique et simple d’esprit pour l’accompagner d’un hôtel à l’autre. Au fil des nuits, ces deux êtres esseulés et retranchés derrière leurs armures respectives, vont se rapprocher. Après deux prix au FIFF à Namur, le duo Bérangère McNeese-Guillaume De Ginestel est à nouveau primé et foi de Président, c’est mérité !


Le bilan 2017 du VAF alias Fonds Audiovisuel de Flandre a été rendu public. Vingt-neuf films majoritaires sont sortis dans les salles belges en 2017. Les films belges flamands ont attiré un total de 1.693.498 spectateurs. La fréquentation du cinéma flamand a chuté de 11% par rapport à 2016. Cependant, en comparaison avec les dix dernières années, ces chiffres restent relativement stables. Sur le podium 2017, il y a "FC De Kampioenen drie: Kampioenen Forever" avec 309692 spectateurs, "Het tweede gelaat" avec 214048 spectateurs et "Le Fidèle" avec 135546 spectateurs, les deux derniers films, je vous en avais parlé dans le premier Ça est du Belge !

Sur la scène internationale, les créations audiovisuelles belges flamandes se sont à nouveau distinguées avec 236 prix et un très grand nombre de sélections en festivals. Le court métrage d’animation "Catherine" a remporté à lui seul 27 prix, le long métrage "King of the Belgians" 9 et le court métrage documentaire "The Jungle Knows You Better Than You Do" 3. Enfin, "Sorry voor alles" a gagné un International Emmy Award et trois films ont été nommés aux European Film Awards.



Le 21ème Brussels Short Film Festival a attiré 25000 spectateurs en 12 jours de projection. La compétition nationale a consacré comme Grand Prix du Jury : Icare de Nicolas Boucart, comme Prix de la Fédération Wallonie-Bruxelles : Make Aliens Dance de Sébastien Petretti, comme Prix du Public : Vihta de François Bierry. Le reste du palmarès est à découvrir sur www.bsff.be

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PODCAST CINEMA | CRITIQUE DU FILM SAW 3D : Chapitre Final - CinéMaRadio

SAW 3D: Chapitre final

"Nier l'existence de ce film serait nier ce qui définit notre monde " Matthieu Blomme.


Si je vous dis scénario complètement alambiqué, horror porn ou torture porn, jeu macabre, film à tiroir, vous pensez évidemment tous aux… « Bronzés 3 »… Je plaisante. Enfin, … je plaisante… Etant donné que j’ai tendance à associer ma définition du mot « porn » avec l’image de Josiane Balasko, la plaisanterie revêt quel... Bon, bref, on s’en fout, c’est pas le sujet. En 2004, le réalisateur James Wan, futur réalisateur connecté avec l’au-delà, s’attachant aussi bien à mettre en scène des fantômes dans Conjuring qu’à les modéliser directement en CGI dans Fast and Furious 7 (ouais, elle est sale celle-là, mais bât les couilles), se lance dans le bain hollywoodien avec un modeste film d’horreur appelé à devenir une espèce de film culte, qui allait, naturellement, générer un nombre incalculable de séquels. De nos jours, la franchise Saw, puisque c’est de cela dont il s’agît, dont le personnage principal John Kramer devînt aussi célèbre que les Freddy Krueger, Jason Voorhees, Michael Myers, et autres pourritures dans le même genre, comme Chucky, Leatherface ou Nadine Morano, entretient, non sans quelques allers et retours (mais quelle franchise de l’horreur ne passe par là ), un capital sympathie dans le souvenir des quelques-uns s’étends risqués dans les salles obscures à chaque période de la Toussaint pendant 7 ans au cours des années 2000. La saga Saw est restée dans les mémoires par son script puzzléifié, à base de méga retournements de situations, de quiproquos, défauts d’interprétations des personnages et autres mise à l’échec et mat 75 coups à l’avance. Evidemment, tout ceci ne serait pas de l’horreur sans séquence de tortures, moments macabres, des bras arrachés, des lambeaux de peau déchirés, des visages scarifiés, bref tous les trucs qu’on ne retrouve généralement pas dans les épisodes de Oui-Oui. Saw, c’est 7 films d’un canon, disons de base + un reboot sortie l’année dernière. Alors, on va pas revenir en détails, ici, sur chacune des œuvres composants cette saga pleine d’allégresse et de bonne humeur. On va plus spécifiquement s’intéresser au dernier film avant le suivant… Voilà. C’est Saw 3… D… Du coup, à ne pas confondre avec Saw 3. Saw 3, c’est pas Saw 3D. Ils portent presque le même titre mais y’en a un en 3D, l’autre pas. Et 3D c’est le 7, en fait. Qui s’appelle aussi « Chapitre Final », mais c’est pas le dernier en vrai. Il y’en encore un derrière. Celui-là, c’est le reboot. Il s’appelle Jigsaw. A ne pas confondre avec Le Mystère de la Villa Blanche, un thriller de 1962 dont le titre original est Jigsaw… Je vais roter. Je vais vraiment roter.

Préalablement, je ne saurais trop vous conseiller de revoir les 7 films de la franchise originale avant de continuer à écouter cet enregistrement, parce qu’on va spoiler comme des grosses biatches ! Alors, nous sommes au cul du 6, on retrouve le détective Hoffman, héritier plus ou moins légitime de Kramer, mort depuis le 3, piégé par la femme de celui-ci qu’on a découvert dans le 4 par le biais de flashbacks d’évènements situés avant le 1er… Je m’arrête un instant, je te conseille de prendre un papier et un crayon là, parce que ça va être chiant… Du coup, l’étau se resserre sur Hoffman, qui prend quand même le temps de finir le boulot en piégeant les derniers figurants qui restent dans cette saga. Sauf qu’en parallèle, se joue la mise à l’épreuve d’un gars qui prétends être une ancienne victime du Jigsaw alors qu’en fait, gros mytho, le mec a juste voulu surfer sur la vibe. Du coup, piège, piège, piège, Hoffman finit par effectuer ce qu’on appelle au quebec, un « coup de bigot à une proximité », pour s’en sortir. Sauf, que retournement, on t’apprend que c’est le Dr Gordon du premier film qui gère depuis le début, les intérêts du tueur. Il baise Hoffman… enfin… Vous m’avez compris, il le coince dans un piège et voilà, boum, ça fin...

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PODCAST CINEMA | CA EST DU BELGE #13 - CinéMaRadio

CA EST DU BELGE

By Michel Decoux-Derycke


Le 36ème BIFFF a attiré les foules: 58000 spectateurs soit 4000 de plus qu'en 2017.


Et toujours dans une ambiance à nulle autre part pareille !

Le palmarès a consacré comme Corbeau d’Or le Japonais Inuyashiki de Shinsuke Sato, comme Corbeau d'Argent: le Taiwanais Mon Mon Mon Monsters de Giddens Ko et le Mexicain Tigers are not afraid de Issa Lopez qui remporte également le Prix du public. Le Méliès d’argent va à l’Irlandais The Cured de David Freyne. Vous pouvez découvrir le reste du palmarès sur www.bifff.net/fr/bifff-2018-awards






Le BSFF aka le Brussels Short Film Festival débutera ce 25 avril et se terminers le 6 mai.

Le Festival se déroulera dans 2 communes (Ixelles, Bruxelles-Ville) et 6 lieux (Flagey, Vendôme, Chapiteau Place Fernand Cocq, Mont des Arts, Palace, Bozar). Des rendez-vous sont également prévus en Wallonie: Néthen-Grez-Doiceau, Namur, Liège, Charleroi, Tournai.

Cette 21ème édition verra les lauréats du Grand Prix de la compétition internationale et de la compétition nationale repris en pré-sélection pour les Oscar dans la catégorie du meilleur court métrage de fiction/d’animation.

329 courts métrages seront projetés au public: 129 en compétition et 200 en off. Une compétitions internationale, nationale et next départageront tous ces films, 5 Jurys délibéreront pour désigner les gagnants de chaque compétition. Pour ce qui du off, il y aura un focus coréen, un focus suisse, une carte blanche à Clermont-Ferrand, etc... La réalisatrice suisse Ursula Meier fera l'objet d'une Masterclass.

Plus d'infos sur www.bsff.be




Le Festival de Cannes 2018 accueillera cinq films belges dont "Girl" de Lukas Dhont.

L’histoire, c'est celle de Lara, 15 ans. Elle rêve de devenir danseuse étoile. Avec le soutien de son père, elle se lance à corps perdu dans cette quête d’absolu. Mais ce corps ne se plie pas si facilement à la discipline que lui impose Lara, car celle-ci est née garçon. C'est le premier long métrage de Lukas Dhont. Comme autres longs métrages, il y aura Nos Batailles de Guillaume Senez, en séance spéciale à la Semaine de la Critique et Seule à mon mariage de Marta Bergman à l’ACID. On retrouvera aussi deux courts métrages, en compétition, un d’animation : Ce Magnifique Gâteau ! de Emma de Swaef et Marc James Roels et un documentaire : Our Song To War" de Juanita Onzaga.